| Sujet: • life is not just about love; U.C Dim 16 Jan - 18:59 | |
| CHOI han joo Feat. Han Hyo Joo. - poste vacant:non - groupe: (fakefriends) ♠ Fiche d'identité; Age (et date de naissance): 19 ans, 19/06/1991 - le jour de la fête des pères - Lieu de naissance: Séoul. Orientation: Hétérosexuel. Situation: Célibataire pour le moment. - CHA décidera pour moi - Profession: Etudiante en stylisme & fakefriend. Autre: write here.
♠ Who am i;
« On dit de moi que j'ai une vide de rêve, seulement vous n'avez aucune idée de l'enfer caché que je suis obligée de supporter au quotidien. »
Je suis née un 19 juin 1991, il ne faisait pas vraiment froid ce jour là, bien au contraire, la chaleur était au rendez-vous. L’accouchement ne s’était pas vraiment déroulé comme prévu pour ma mère, je manquais d’oxygène à ma naissance, et j’étais obligée de rester à l’hôpital durant plusieurs jours. En y repensant et en voyant la vie que je mène aujourd’hui, j’aurais préféré ne jamais naître, ne jamais exister, il ne faut pas croire ou penser que je suis suicidaire , loin de là, mais je n’aime pas vivre voilà tout. La seule chose qui me rend quelque peu heureuse d’exister, c’est le dessin, j’aime dessiner des vêtements et ce depuis que je suis en âge d’écrire. J’ai toujours rêvé de faire ma propre ligne de vêtements, et d’apparaître sur un podium à la fin de mes défilés, en remerciant les personnes qui m’applaudissent. Seulement, tout cela reste un rêve, qui se réalisera je l’espère peut-être un jour. Bref, parlons de ma situation financière et familiale, on peut dire que j’appartiens à un milieu aisé, mon père possède plusieurs entreprises, et ma mère quant à elle a abandonné son métier de journaliste pour être femme au foyer, c’est d’ailleurs l’une des femmes les plus parfaites que je connaisse. Elle fait de son mieux pour satisfaire tout le monde, et s’occupe extrêmement bien de notre chez soi familiale. Mon père quant à lui est toujours occupé avec son travail, enfin c’est ce que j’ai toujours cru. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, mon enfance n’a pas été des plus heureuses. En apparence, notre famille semble unie, et elle pourrait plutôt bien refléter l’idéale qu’on aperçoit des fois dans des publicités à la télévision, où l’on trouve une famille heureuse et soudée faire la promotion d’un quelconque cornflake. Seulement la vérité est toute autre, car derrière tout ça, se cache une femme meurtrie par l’infidélité constante de son mari, un époux toujours insatisfait et beaucoup trop soucieux de la réputation de sa famille, et bien sûr moi, une petite fille seule et perdue vivant dans un milieu où seule l’hypocrisie règne. Etant enfant, je ne comprenais pas vraiment tout ça, d’ailleurs pour y échapper, je me contentais de dessiner, je passais tout mon temps libre à faire ça, un moyen plutôt efficace pour moi de m’échapper et d’oublier le monde dans lequel je vis. Bien sûr, à l’école, il fallait que j’ai de bonnes notes, que je me montre toujours gentille et polie avec tout le monde, on aurait pu penser que j’allais être entouré d’amis mais malgré ça, j’étais tout le temps seule, la solitude semble m’apprécier, en classe j’étais toujours celle qui restait dans son coin, même à la cours de récré. Je ne voulais pas communiquer avec des enfants comme moi, ils ne comprendraient sûrement pas ce que je vis ni ce que je ressens.
Comme on pouvait s’y attendre, à l’adolescence, ça avait bien sûr empiré. J’étais au collège à l’époque, j’avais quinze ans et c’était un dix-neuf juin, le jour de mon anniversaire et aussi la fête des pères. Comme j’avais terminé un peu plus tôt mes cours, j’avais décidé d’aller voir mon père à son bureau pour lui faire la surprise et lui souhaiter une joyeuse fête des pères tout en lui donnant son cadeau. J’avais tout mis en scène, tout préparé, je voulais que cette journée soit spéciale. Je suis donc rentrée à son bureau, comme je ne trouvais pas la secrétaire pour m’accueillir et me dire s’il était bien là ou pas, j’ai décidé d’aller voir ça moi-même en entrant. Plus je m’approchais de la porte du bureau, plus j’entendais des bruits bizarres, comme des gémissements très discrets. J’eus donc tout de suite des doutes, était-ce mon père trompant ma mère avec une autre femme ? Je ne voulais pas vraiment y croire, mais dans ma tête tout s’expliquait. J’avais finalement compris pourquoi ma mère pleurait souvent sans raison dans la salle de bain quand j’étais petite, pourquoi elle semblait aussi triste à chaque fois que je lui montrais des dessins de notre famille unie et juste à côté notre maison. Au fond de moi, j’espérais que tout cela n’aie aucun sens, je voulais croire que derrière cette porte il n’y avait que ma mère et mon père entrain de faire leur truc – même si au passage, c’est dégoûtant – . Je finis donc par rentrer chez moi pensive et choquée, j’éspérais ne pas voir ma mère à la maison, mais malheureusement, elle était là à m’attendre, elle avait même préparé un gâteau rien que pour moi, et m’avait acheté la machine à coudre que je voulais. Mes larmes se mirent à couler sans que je ne puisse les contrôler, ce n’était pas très grave, elle ne se doutera de rien et pensera que c’est des larmes de joie. Je me demandais si lui dire ce que j’avais vu ou plutôt entendu était une bonne idée, ça ne ferait que lui gâcher sa journée. Voyant le cadeau que je tenais dans mes mains, elle finit par me demander si c’était mon père qui me l’avait offert. Je me suis donc retrouvée obligée de lui dire la vérité, je ne pouvais pas mentir « maman, papa te trompe, je voulais lui donner ce cadeau pour la fête des pères, et j’ai entendu ces bruits bizarres venant de son bureau, je pense qu’il était avec la secrétaire. » Je m’attendais à ce qu’elle réagisse, à ce qu’elle pleure, à ce qu’elle soit triste, mais je n’eus droit à rien de cela, juste un petit sourire en coin et un regard profond et extrêmement mélancolique. « Tu sais han joo, il y’a des personnes qu’on ne peut pas changer, et ton père en fait parti. Il faut donc que tu oublies ce que tu as pu entendre ou voir, tu ne dois te soucier que de tes études . » Elle savait donc déjà qu’il la trompait toujours, qu’il n’avait pas arrêté. j’étais encore plus choquée par sa réaction, la vie s’était donc ça ? elle n’était basée que sur des apparences, la mariage n’est donc qu’un mensonge ? Ce jour là fut sûrement le pire de tous, j’aurais préféré ne rien savoir, ne jamais me réveiller, et vivre dans cette hypocrisie le plus longtemps possible.
Depuis ce jour, j’ai décidé de ne plus faire confiance aux hommes, de fermer mon cœur, et de ne vivre que pour ma passion, j’ai d’ailleurs aussi décidé de ne plus jamais fêter ma date d’anniversaire ni même la fête des pères, j’aurai d’ailleurs préféré être orpheline et pauvre que d’avoir à vivre ça. J’avais hâte de sortir de cette vie, de ce mensonge, de vivre chez moi toute seule. On dit que le temps guérit les blessures, mais dans mon cas, elles n’en étaient que plus profondes. Mais je voulais quand même vivre normalement, comme toutes les autres adolescentes, j’ai d’ailleurs déjà eu quelques petits amis, peut-être trois ou quatre, mais ma relation ne durait pas plus d’un mois, je finissais par leur briser le cœur à chaque fois. Après ça, j’ai décidé de laisser tomber, je ne suis sorti avec personne, j’ai toujours trouvé que ça ne servait à rien, encore une question d’apparence, ça doit sûrement faire plus « cool » d’avoir un beau petit ami. Plus je grandissais plus j’avais du succès avec les garçons, et plus je les repoussais, je ne veux surtout pas finir comme ma mère. J’ai d’ailleurs maintes fois essayé de la convaincre pour qu’elle divorce de mon père, mais en vain, elle ne voulait pas, d’ailleurs le fait même d’en parler la dérangeait. Ayant eu mon diplôme à 18 ans, j’étais finalement libre de décider de ce que je voulais faire de ma vie, mon choix s’est naturellement porté sur le stylisme. Je fus acceptée dans la plus grande école de stylisme de séoul, un jour heureux pour moi, l’un des rares. J’ai aussi par la même occasion décidé de vivre seule et d’être au maximum indépendante, je ne voulais plus de l’argent de mon père. Je me mis donc à chercher un moyen de me faire assez d’argent pour vivre raisonnablement sans avoir à me prostituer. C’est alors que j’ai entendu parler de CHA, une agence matrimoniale très connue en Corée, où on engage des gens pour sortir avec d’autres personnes. Bien sûr, il ne fallait que je n’en dise rien à mes parents, ils se soucieraient sûrement de la réputation de la famille Choi, et m’interdirait d’avoir ce genre de boulot, mais qu’importe. Après quelques mois, je finis par me faire engager par l’agence, je n’ai pour l’instant aucun client – petit ami – mais ça ne saurait tarder. ♥
♠ You&Yourself; Pseudo: paperlife, papier, chungie, rimmie, mummy..etc Âge: 18 ans. Double compte? Nope. Comment as-tu connu le forum? by Tissuu', Chuu me l'a même pas présenté :O - faux boude - XD Fréquence de connexion: 5/7 ou même 7/7 chef. ♥ Autre? nan, nan. (: Test RP: (nombre de mots ici.)
- Spoiler:
à poster ici.
Dernière édition par Choi Han Joo le Ven 11 Fév - 2:38, édité 4 fois |
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Mr. Cupid Messages : 155 CHA's Member since : 11/09/2010
| Sujet: Re: • life is not just about love; U.C Lun 17 Jan - 1:38 | |
| Voilà une petite qui a bien besoin qu'on lui redonne le sourire... Félicitations!
Tu es désormais validé! o/ Maintenant que tu as été placé dans ta belle couleur violette de fakefriends, tu peux poster où tu en as envie sur le forum! N'oublie pas d'aller te faire référencer ici, que l'on sache si tu es libre ou non! Une question? La F.A.Q te répondra peut-être! Besoin d'un toit? C'est par ici; nous n'allions pas te laisser à la rue quand même! Et parce que ce n'est pas drôle d'être un SAF, sans-ami-fixe, viens faire un tour ici pour trouver des liens pour ton personnage! Désormais, tu es libre. Va, cher petit membre, mais ne fais pas de bêtises! Et n'hésite pas à te connecter dans la chatbox pour apprendre à connaître les autres, si ce n'est pas déjà fait! (: |
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