| | You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] | |
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| Sujet: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 18:35 | |
| Seo Hana Feat. Seo Ju Hyeon (Seo Hyun / SNSD) - poste vacant: non - groupe: fakefriends ♠ Fiche d'identité; Age (et date de naissance): Née le 15 Août 1990; 20 ans. Lieu de naissance: Née à Naha, Okinawa. Orientation: Hétérosexuelle Situation:Vient juste d'être engagée comme fakefriend, alors célibataire. Profession: Fakefriend et étudiante en sociologie transférée de l'université de Tôkyô. Autre: Elle s'est inscrite à la CHA pour oublier ce qu'elle a pu faire lorsqu'elle était étudiante à Tôkyô. Pour se racheter une conduite, en quelque sorte... Elle possède la double nationalité coréenne et japonaise, mais a toujours vécu au Japon jusqu'à l'année dernière.
♠ Who am i;
Sociologie - Dissertation: Okinawa et son influence sur la politique et la société japonaise
L'archipel d'Okinawa compte sept îles, la plus grande d'entre elles ayant donné son nom à ces terres issues de volcans aujourd'hui éteints. L'île d'Okinawa mesure 1,207 km² et 1,230,000 habitants y vivent. Elle se trouve à plusieurs milliers de kilomètres de l'île de Honshû, et revendique sa différence culturelle avec le Japon. En effet, on peut trouver sur ces îles de nombreux châteaux attestant que les okinawaïens se sont toujours protégés de l'envahisseur japonais, et ce jusqu'à leur prise au huitième siècle.
La particularité d'Okinawa, à part son climat tropical et sa reconnaissance en tant que quarante-quatrième ken japonais, consiste en ses nombreuses bases militaires américaines, qu'on trouve principalement au nord et au centre de l'île. Les américains sont postés ici depuis 1945, c'est-à-dire lors de la reddition du Japon et de l'arrivée du général McArthur pour gouverner ce pays de petits kamikazes accros au riz. Même si les américains ont redonné l'archipel aux japonais en 1972, ils ont toujours la bonne idée de squatter l'île et de faire chier toute la population japonaise, laissant un problème épineux à tous les politiciens du pays. De plus, il est écrit dans l'article 9 de la constitution japonaise que le pays du Soleil Levant ne fabriquerait, ni ne posséderait d'arme nucléaire. Pourtant, sur certaines bases de l'île, on peut trouver des aéroports permettant de faire atterrir sur le sol japonais cette arme qui a tué plus de 200,000 personnes et laissé des déchets nucléaires irrécupérables dans les villes de Hiroshima et Nagasaki.
Tout ça pour dire que les américains sont vraiment une bande d'enfoirés. Ils se sont appropriés une île sous prétexte de surveiller la République populaire de Chine et son petit voisin nord-coréen, rendant au passage le sud de la péninsule tellement américanisé que l'hallyu est en train d'emporter toute la culture asiatique sur son passage! Les américains ont aussi tué mon père et ont faire croire qu'il était en faute, souillant sa mémoire et salissant sa femme et sa fille auprès du tribunal! Je m'explique. Mes parents, Seo Jung Hwan et Seo Kaori, étaient en voyage de noces sur cette île si paradisiaque... Jusqu'au jour où, étant sur le point de rentrer à Tôkyô afin que leur fille naisse, un camion militaire vient à toute allure sur cette petite route, roulant au milieu en plein phares. Bien sûr, la petite voiture n'a pas su éviter le gros camion. Ca ne vous rappelle rien d'ailleurs? Les américains tentant d'écraser la moindre petite chose qui se met en travers de leur passage... On peut trouver de nombreux exemples rien que dans nos livres d'histoire. Cet accident est la reproduction à moindre échelle de cette vérité. Mon père en est mort, suite à de multiples fractures et traumatismes. Ma mère était blessée et a été obligé de mettre au monde son enfant sur cette île six semaines avant terme. Okinawa, l'incarnation du rêve... Tu parles. Je suis née sur un enfer mis en place par l'oncle Sam.
Il n'y eut que ma mère et moi-même qui rentrèrent à Tôkyô. Kaori avait perdu l'homme de sa vie, elle avait gagné un enfant de lui. Elle m'a toujours choyé comme elle l'a pu. Je savais qu'elle travaillait la nuit, alors en petite fille sage, je faisais tout pour grandir plus vite que mes copines. Et des copines, je n'en avais pas beaucoup. La plupart des enfants me regardaient bizarrement lorsque je leur disais que je n'avais pas de père, et ne voulaient pas jouer avec moi. Si je me retrouvais toute seule, je restais dans ma salle de classe, à lire ou à chanter des chansons de girls' bands que j'avais dans la tête. Je n'aime pas trop me mélanger aux autres; j'ai toujours été assez timide et à avoir tendance à rester dans mon coin quand il s'agit de se mettre en avant. Ma mère voyait de très bonnes notes sur mes bulletins, alors elle décida de m'inscrire dès l'école primaire au juku. Je travaillais très dur dans toutes les matières, haïssant l'anglais mais essayant de garder sa grammaire en tête. Je rentrai chez moi après des journées harassantes de douze heures, trouvant une maison vide et un petit mot sur le frigo, m'expliquant ce que je devais manger. Lorsque ma mère décida de ma faire intégrer l'élite, je ne la vis plus du tout. J'étudiais le jour, elle travaillait la nuit. A huit ans, je faisais mes devoirs jusqu'à minuit, mangeant seule, faisant tout seule. C'était le seul moyen pour que nous réussissions à vivre, ma mère et moi.
J'entrai dans les meilleures écoles pour filles de la capitale, ma mère ne voulant pas tout de suite me mélanger avec les hommes comme ses parents l'avaient fait dans son éducation. Je ne comprenais pas pourquoi je n'avais pas le droit d'avoir des amis garçons mais à la fin de mon adolescence, étant donné le parcours que j'ai suivi, j'ai compris; j'appliquerai d'ailleurs la même chose à mes propres enfants. J'avais quelques amies avec qui sortir et travailler. Une enfance des plus banales, en somme. Se lever à six heures du matin, se laver, faire son bentô tout en mangeant son petit-déjeuner, aller en cours, étudier, manger, encore étudier, toujours étudier mais cette fois au juku, manger seule chez moi ou avec une amie dans une échoppe à udons, finir ses devoirs et dormir. Et ce, répété inlassablement tout au long de la semaine, du semestre. Les weekends, je dessinais. Non pas des mangas, comme la plupart des enfants dessinent sur leurs cahiers, non. Je me mettais sur un banc dans un parc, ou à côté de Hachikô à Shibuya, et je dessinais les passants. Aussi bien la fashionista que le salaryman, l'homme âgée ou la petite fille qui venait à côté de moi voir ce que je faisais. Ma mère dormait, mais savait ce que je faisais. Me savant suffisamment mature pour ne pas me fourrer dans les ennuis, elle me laissait faire en souriant, admirant mes dessins. Je dois avouer qu'au début, ils n'étaient pas très beau. Mais à force d'entrainement, je me mis à faire des portraits très réalistes. D'ailleurs, je dis souvent que mon seul talent à part être douée en classe, c'est le dessin. Pourtant, je n'ai jamais songé à entrer dans une école d'art, bien au contraire. Mon objectif, et ce depuis ma primaire, se résumait en deux kanjis: 東大. Tôkyô Daigaku, l'une des universités les plus cotées au monde. Je suivais les cours spéciaux pour les enfants souhaitant entrer dans cette université. Mes professeurs, aussi bien que ma mère, me poussaient à aller dans cette voie, à devenir membre de l'élite japonaise. Je n'avais pas besoin de leur avis pour aller là où me menait mon rêve. Quand on est enfant, on est plus têtu et entier qu'à l'âge adulte; on n'a sans doute pas encore compris que le monde n'est pas disposé à donner ce qu'on souhaite, et qu'il faut travailler d'arrache-pied pour l'obtenir. Pourtant, cela fait depuis les années 60, depuis les années de croissance, qu'on le répète aux enfants et aux moins jeunes.
Pour la première fois, ma mère me laissa tenter un concours pour un lycée mixte, mais pas n'importe lequel. J'ai réussi à rentrer avec brio dans le lycée de Hibiya, le plus prestigieux des lycées japonais. Tôdai approchait à grands pas, je redoublais d'efforts pour que le rêve que je touchais du bout des doigts se concrétise. Toutefois, en travaillant, je me fermai au monde autour de moi, ne me rendant pas compte des agissements de ma mère. Un jour, je la vis sur le canapé alors que je rentrai des cours particuliers. Elle pleurait à torrents en regardant le plafond blanc de l'appartement et en laissant le drama du moment à fond défiler à la télévision. Ce fut l'une des seules fois de ma vie où je ne fis pas mes devoirs. J'allais la voir et elle m'expliqua tout: son métier de call-girl, qui nécessitait parfois d'aller plus loin qu'un simple strip-tease ou une danse en sous-vêtements. Que la quarantaine venant de sonner pour elle, elle n'était plus bonne à rien dans un monde où les hommes ne réclamaient que de la chair fraiche. Pourtant, elle était encore très belle, mais non... A quarante ans, on n'est plus considéré comme une jolie femme, mais comme une vieille dame digne de devenir grand-mère. Elle avait été licenciée, purement et simplement, lui assénant cette vérité à digérer en plein face. Le temps de trouver un travail, les temps allaient être très durs. Je décidai d'arranger la vie à ma mère et de lui éviter des dettes en arrêtant la moitié des cours que je suivais. Je me suis mise à réviser moi-même, à la bibliothèque. Mes notes ont légèrement baissé, certes; je n'étais que troisième au lieu de première. Elle fut très surprise de ma réaction face à cette perte et me félicita de ma maturité. Toutefois, je ne lui dis pas tout. Je me suis mise moi-même à trouver un travail. Étant mineure, peu d'offres s'offraient à moi. Livreur de journaux? Je l'ai fait un seul mois, c'est tellement mal payé que ça faisait comme si je ne travaillais pas. Vendeuse dans un fast-food? Le gérant était sur mon dos et un de mes collègues me faisaient des avances pas très orthodoxes. Je n'avais que quinze ans à l'époque, et je n'avais encore jamais eu de petit ami. Ce qu'il me proposa fut pour moi un choc. Je ne disais rien mais je démissionnai quelques mois après. Après avoir épuisé le registre des petits boulots pour ados en manque de fric, je décidai de viser plus haut. Ma mère avait fait un erreur en se confiant à moi. Un très grosse erreur même. Elle m'avait dit le nom du bar dans lequel elle travaillait. Un bar à hôtesses assez particulier, dans le quartier de Ginza. Je décidai d'y aller un soir, au lieu de faire mes devoirs – ça commençait à devenir une habitude, à force. Lorsque la directrice me vit venir, elle me demande si je n'avais pas perdu mon chemin, ou si je cherchais mon père. Quand je lui expliquai que je voulais travailler ici, elle ouvrit de grands yeux ébahis. Comment une fille de seize ans peut avoir en tête de travailler comme call-girl? La question qu'elle se posait était marquée sur sa tête, étant donné l'expression qu'elle affichait en me fixant. Je lui dis qu'elle avait viré ma mère quelques mois avant, et que je venais la remplacer sans qu'elle le sache. Le mot magique fut ''Seo Kaori''. Elle me tira alors par le bras et m'emmena dans son bureau. Cette directrice tirée à quatre épingles et fumant cigarette sur cigarettes dans un fumoir en argent me fit comprendre que je n'avais pas l'âge requis pour avoir le métier. Elle m'invita à sortir avec ses dents trop blanches, je restai collée sur ma chaise. Elle leva les yeux au ciel et se rassit, en me disant que je pouvais lui rendre un service. J'étais ce qu'on peut appeler dans le métier de la chair très fraiche. Trop, d'après Mme Shirayuri. Il suffisait donc que je me poste vers l'entrée du bar pour montrer aux hommes que je travaille ici et les faire entrer en quête de plaisir charnel. Le job était simple, mais la tenue était assez légère pour une fille de mon âge. Je me tenais à ce qu'elle me disait de faire, me reposant parfois dans le bar si j'avais les membres engourdis. Finalement, ce métier me plut. Premièrement, il n'était pas très compliqué. Secondement, j'avais fait augmenter les recettes du bar, alors Mme Shirayuri me donnait un salaire assez conséquent. Recevoir 150,000 yens par mois à seize ans est une somme pharamineuse. Ma mère ne savait pas dans quoi je travaillait, ne lui ayant jamais dit que j'avais démissionné de ce fameux fast-food. Je faisais mes devoirs avant d'aller travailler, faisait la sieste en pause. Mes notes ne diminuaient pas, mais je ne faisais pas du tout attention à mon corps en travaillant dix-huit heures par jour.
L'univers du plaisir indirect était vraiment intéressant, de mon point de vue de petite fille racoleuse de clients. Tous ces corps, cette douce torpeur créée par ces femmes devenues mes amies, étaient beaux à voir. Mes professeurs se rendirent compte que je travaillais trop, étudiais trop en plus des cours habituels et du juku pour aller à Tôdai. Je fatiguais, doucement mais sûrement. Toutefois, je ne me laissai pas abattre et faisait tout pour réussir ce test d'entrée à l'université, clé pour atteindre ce rêve d'enfant. Je demandai Tôdai et Keio, deux des plus grandes universités. Surprise pour mes professeurs qui voyaient ma baisse de régime en dernière année, je fus acceptée aux deux. Bien sûr, entre le rêve et la seconde main, dirons-nous – bien que je n'ai rien contre Keio, entendons-nous – on prend le rêve. J'entrai à Tôdai à dix-huit ans pile, réalisant un rêve pour lequel je m'étais battue. Ce même mois d'août, Mme Shirayuri me prit dans son bureau. Elle me dit alors que j'étais majeure et que, étant donné mon physique avantageux et mon beua visage, je devrai arrêter de travailler comme racoleuse, comme elle le disait, pour être promue. Sautillant de joie, j'acceptai. Sauf que quelques semaines plus tard, je compris ce qu'elle entendait par promotion. Étant encore un bébé il y a deux ans, je ne faisais pas assez bien devant les clients. A dix-huit ans, j'avais l'âge parfait pour faire gagner à son bar du sang neuf. En clair, devenir de la poudre à canon, une call-girl comme les autres. Certains de mes clients me reconnurent comme étant la petite fille qui les avait entrainé dans ce bar, et pour me remercier, m'offraient des pourboires assez conséquents. Sauf que vous connaissez la règle; des pourboires signifient que vous allez devoir baisser votre culotte. Je m'en rendis compte assez rapidement et perdit ma virginité avec un client assez âgé, certes, mais qui s'était toujours montré adorable avec moi. J'étais assez connue, rapportant des sommes d'argent importantes chez moi. Ma mère commençait à se douter de quelque chose mais je lui répondis qu'elle n'avait pas à s'inquiéter, que mes études et mon petit boulot me prenaient énormément de temps. Ce qui était vrai. Je réussis de justesse ma première année d'université, ne révisant pas assez et récupérant mes nuits à danser sur une barre ou à faire des choses plus répréhensibles à dormir sur mes cours. Je ne suivais plus, faisant tout comme un robot et n'arrivant plus à faire rentrer le moindre cours dans ma tête. En seconde année, une bourse pour finir ses études en Corée du Sud m'attira. La Corée est le pays de mon père pourtant, je n'y étais jamais allée. Je déposai ma candidature avec tous les papiers nécessaires pour pouvoir partir. Les études à Tôkyô, le secret sur mon emploi, mon métier... Tout était très dur à supporter. Il faut en plus ajouter le fait que j'eus un petit ami à partir de la fin de ma première année, avec qui je me comportais en fille douce, mignonne et légèrement timide. Ma nature de base, alors qu'avec la plupart des hommes que je fréquente, je devais jouer un peu les tigresses, prendre les devants... Deux natures très dures à séparer l'une de l'autre. D'ailleurs, quand je devais régler certains services supplémentaires, je ne pouvais m'empêcher de penser à lui, de me dire à quel point j'étais horrible et sale pour faire ce genre de choses. Lorsque j'eus la bourse pour continuer d'étudier la sociologie en Corée, ce fut pour moi une délivrance. Je démissionnai de ce bar où j'avais travaillé pendant trois ans. Mme Shirayuri me laissa partir à regret, étant donné que j'étais l'une des filles les plus demandées lors de ces deux dernières années. Je rompus avec mon petit ami, à qui je ne pouvais plus raconter des mensonges sur mon travail de nuit. Je dis au revoir à ma mère et partit à Séoul avec un passeport flambant neuf et un pécule assez conséquent, accumulé depuis plusieurs années.
Fraichement arrivée à Séoul, je dois avouer que je ne sentais pas vraiment à l'aise. Je n'avais appris le coréen que dans les livres, il était assez difficile de le recracher dans la vie de tous les jours. J'avais quelques difficultés, mais au bout de quelques mois, tout se passa mieux. Mes cours en coréen étaient assez difficiles à comprendre, je m'armai de nombreux dictionnaires pour y faire face. Je postulai dans une agence matrimoniale qui a l'air assez connue en Corée: la Cupid's Heaven. Ce job est parfait. Se faire passer pour la petite amie d'un homme pour une durée indéterminée en échange d'un salaire est une excellente idée. Je n'ai passé le test que tout récemment et n'ai été engagée qu'il y a quelques semaines. Je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre de ces futurs petits amis, aussi réels que des oasis dans les déserts ou des armes de destruction massive en Afghanistan. Toutefois, être fakefriend était mieux que call-girl. Certes, on travaille toujours dans le domaine de l'amour, mais pas de la même façon. L'un produit un violent désir sexuel, qui peut être pratiqué lors de la nuit, l'autre est juste de la compagnie affective. A ce qui paraît, certains clients peuvent être des hystériques. Moi, du moment qu'ils me laissent étudier ma sociologie et ma macroéconomie certains jours dans la semaine, tout me va. Mais en revanche, si on me demande des services d'ordre sexuel, je refuserai. J'ai fait une overdose à Tôkyô de ce genre de chose. Et puis, l'amour et le sexe peuvent être différenciés, non? En tout cas, j'aime cette barrière que la Cupid's Heaven Agency fait entre le métier et les sentiments. Pour le moment, ce nouvel emploi dans le monde de l'amour ne m'a atteint en rien dans mes études. J'ai remonté mes notes en flèche pour ma troisième année d'université. Dans le fond, je sens que je vais me plaire ici...
(Ceci est un brouillon de la dissertation dont le titre est cité en haut de l'histoire. Hana ayant fait un total hors-sujet, comme vous avez pu le lire, ce brouillon a été directement jeté à la poubelle après avoir été écrit. Si vous voulez le savoir, Hana a eu 83 pour son travail définitif sur Okinawa.). ♠ You&Yourself; Pseudo: Seo-Rin, ou Apple. Âge: 17 ans, 18 au mois de mai. x) Double compte? Non, et je pense pas en faire... Comment as-tu connu le forum? Parfois, le hasard fait très bien les choses... Fréquence de connexion: Minimum 2/7j, maximum... Bonne question! Tout dépend de mes cours à la fac' et de la façon dont je les comprends. Je pense me connecter un peu tout les jours, mais pour le RP... Je ne sais pas du tout. Autre? Seo Hyun, c'est le bien! :D Et merci Kiwi! Car finalement, c'est grâce à elle que je me suis inscrite, et même elle m'a fait le vava... x) Test RP: 1375 mots.
- Spoiler:
Si elle avait su... Comme dirait un petit garçon dans un vieux film français des années cinquante – la guerre des boutons? - ''Si j'avais su, j'aurais pas venu!''. Dans le cas présent, So Eun pensait plutôt ''Si j'avais su, je m'aurais pas inscrite à ce stupide bal!". Une jolie petite lettre avec son nom était sur le pas de sa porte lors de son réveil. Heureusement qu'elle était seule dans sa chambre, sinon sa colocataire aurait été choquée de voir un aussi petit gabarit pester avec autant de force. Qu'est-ce qui lui était passé par la tête lorsqu'elle avait accepté l'idée de Yun Ha de participer à ce truc? Un bal, où tous les hommes de Haengbok allaient chercher leur partenaire – tirés au sort, d'après la lettre – et en profiter pour avoir des pensées pas orthodoxes sur elles? Tss. Une soirée où elle allait encore s'emmerder, larguer son cavalier et en profiter pour faire du stand de boissons sa seconde résidence. Le pauvre jeune homme pourra s'amuser avec quelqu'un d'autre qu'elle. Après tout, la sociabilité, ça n'a jamais été son truc... Elle sécha les cours toute la journée et pour une fois, on peut dire qu'elle avait une bonne raison. Ce qu'elle aimait dans ce bal, ce sont les préparatifs, l'anticipation, l'excitation. Pas la soirée en elle-même. Le mieux, c'est quand on faisait tout le jour même, l'adrénaline devenait tellement forte qu'elle rendait la moindre chose grisante. Elle se dégota une robe, rouge pour contraster avec sa peau très pâle et tout aussi froide, puis tout les accessoires qui vont avec. Elle alla chez le coiffeur se couper les cheveux jusqu'aux épaules, puis les teindre en roux. Depuis le temps qu'elle avait envie de le faire... De plus, elle pensait que de cette façon, il serait plus difficile de la reconnaître qu'avec ses longs cheveux bruns. Dernière étape, et elle avait l'air d'être la plus importante, le masque. On ne trouvait pas ça à tous les coins de rue, et personne n'en avait dans ses tiroirs, prêt à être utilisé pour une idée aussi farfelue du directeur Kim. Après deux heures de recherche et une série de jurons à un vendeur de déguisements, elle en trouva un. Étonnant pour une fille de s'emporter comme ça, non? Elle se justifiait toujours de la même raison, vaine et puérile quand on sait la vérité... So Eun répondait à chaque fois que c'était le sang latino coulant dans ses veines qui ressortait quand elle s'énervait. Qu'aurait-elle dit si sa mère adoptive n'avait pas été sud-américaine? Elle rentra à l'académie les bras chargés de sacs plus ou moins gros sans attirer l'attention de qui que ce soit. De toute façon, si on lui avait dit quelque chose, ce qu'elle avait dans ses mains justifiait sa sortie impromptue. 16H50. Elle avait déjà passé une demi-heure à se regarder dans la glace, maudissant encore une fois le directeur pour ce concept et Yun Ha de l'avoir en quelque sorte forcée d'y participer. Toutefois, elle devait avouer qu'elle avait hâte. Hâte de voir la tête de ce cavalier, hâte de savoir comment se déroulerait la soirée, comment se débrouilleraient les cavaliers les uns avec les autres... Elle aime les bévues et sottises des autres, ça n'était pas un secret. En attendant l'heure de se préparer, et étant donné que les cours n'étaient pas finis, elle sortit un vieux livre de son tiroir et se mit à lire tranquillement. Le titre du livre? Ça vous intéresse vraiment? Un livre de science-fiction, du Bernard Werber si vous tenez tant à le savoir. Et en français, qui plus est. So Eun se plongea dans ces aventures et ne pouvait s'empêcher de remarquer que vraiment, les auteurs n'ont jamais d'imagination. Il faut toujours qu'ils aillent chercher leurs idées dans un classique vu et revu et corrigé pour que leur bouquin fasse un minimum de ventes. Arrêtons de critiquer, ce pavé était vraiment documenté et passionnant... Tellement passionnant qu'elle ne ressortit de ce livre qu'à 18h20. Prise de panique, elle se déshabilla, enfila une paire de collants puis sa robe. En regardant de plus près, elle était assez courte d'ailleurs... Trop courte? Peut-être. Toutefois, c'était trop tard pour faire machine arrière, tant pis si elle se faisait refouler ou si on la regardait un peu trop longuement. Elle ferait un moue mauvaise à l'intéressé et puis c'est tout. Bien sûr, le principal élément de la beauté d'une fille, c'est sa capacité à cacher ses imperfections. Le maquillage, dieu béni par toutes les femmes occidentalisées de cette planète, lui servirait à elle aussi. Elle passa rapidement sur le trompe-couillons – qui portait très bien son nom – et prit un peu plus de temps pour ses yeux et sa bouche. Une fois cette étape accomplie, elle s'attaqua à ces satanées chaussures. Elles avaient l'air très belles dans la vitrine, mais les dix centimètres de talons qui l'accompagnait allait légèrement poser problème à la jeune fille. Elle qui avait tellement l'habitude des baskets et des talons plats, elle allait souffrir. Après avoir bataillé avec les lanières pendant cinq bonnes minutes, elle se remit face au miroir. Finalement, ça n'était pas si mal. Elle devrait se maquiller et mettre des talons un peu moins hauts plus souvent. On va s'en contenter. Elle fit la moue et se tourna vers ce masque qu'elle avait eu tant de mal à trouver. Rouge, d'une matière satinée, on y avait cousu ou brodé, elle n'aurait pas pu le savoir, des arabesques avec un fil doré. Elle avait cherché ni trop sobre, ni trop extravagant; elle avait trouvé le juste milieu. 19H15. Elle descendit avec un peu de retard de sa chambre et se retrouva dans la salle commune. On lui donna alors un badge indiquant en gros caractères le numéro qu'elle avait choisi. Elle rigola lorsqu'on le lui tendit. Cela cassait un peu le charme des tenues, la beauté de leur apparence. Elle l'accrocha tout de même sur le bustier de sa robe puis regarda tous les autres. Après observation, oui, sa robe était vraiment trop courte. Après cette réflexion, elle se mit à chercher le numéro de son cavalier. Sur la lettre, il était marqué le... Elle ne s'en souvenait déjà plus, elle était bien partie! So Eun leva les yeux au ciel dans le but de se le rappeler. Après être sûre de l'avoir en tête, elle franchit les portes de la salle et chercha parmi tous ces hommes – de race humaine ou non – celui qui portait le bon numéro. Après avoir passé quelques minutes à se balader et à admirer les efforts qu'avaient déployés le directeur pour changer cette salle en vingt-quatre heures, elle tomba enfin sur le numéro qu'elle recherchait. Un jeune homme assez frêle, mais, d'après le peu qu'elle en voyait, qui avait un assez beau visage. Elle se mordit la lèvre et sourit avant de partir derrière lui. Ensuite, elle se dirigea vers le dos de cet homme qu'elle allait traiter comme les autres... So Eun tapota gentiment, une fois n'est pas coutume, l'épaule de son cavalier enfin trouvé. Elle mit sa main sur son épaule et confirma son impression: sa peau était chaude, trop chaude pour un homme normal. Un démon? Elle sourit de nouveau. La soirée n'allait pas être si mauvaise si son impression se confirmait... Lorsqu'il se retourna, elle mit les mains sur les hanches et lui dit directement: «Bonsoir bel homme. D'après votre numéro, je crois qu'on nous a réunis pour cette soirée. Souhaitez-vous être mon cavalier?» Le tout en tendant la main en sa direction... Sirupeux et cucul la praline, vous trouvez? Elle riait intérieurement de cette réplique. La première impression fait toujours mouche. Il allait être surpris du déroulement de la soirée, s'il l'avait jugée de cette manière.
Dernière édition par Seo Hana le Dim 16 Jan - 2:37, édité 10 fois |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 18:40 | |
| Appleeeee. ♥ Seo qui vient partouuuut, ahah.
Tu t'es inscrite grâce à moi ? Heu ? XD Un vava pas beau. Bref.
Bonne chance pour ta fiche, avec ton histoire, là. Amuse-toi bien ici. iluapple ♥ |
| | | chuu Pseudo : chuu'. Célébrité de l'avatar : kim taeyeon (snsd). ♥ Messages : 112 Double compte : future baek amy. CHA's Member since : 11/09/2010 Age : 34 Mood : happy. My heart is : not in love, but kinda taken. My diary : uc.
| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 18:44 | |
| seo-rin. o/ ♥ bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche! :D |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 18:45 | |
| AAAAAAAAAAAAPPLEEEEE ♥ je retourne à ma fiche après avoir dit: Bienvenue, bonne chance pour la fiche, je t'aime ♥ xD |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 18:52 | |
| Kiwi:: Oui, je viens partout! :D Mon instinct de geek a pris le dessus sur tout... Ben, tu m'as un peu aidé à m'y inscrire, dans ce petit fo'! Sinon, j'aurais franchement hésité xD Mais il est beau ton vava! Et je t'aime aussi ♥
Chuu':: Chuu' en admin', pourquoi ça ne m'étonne pas? Chuu' en Taeyeon, pourquoi je ne suis absolument pas surprise? xD Merci beaucoup... Au fait, j'aimerais un lien entre SNSD, c'est possible? x)
Min Jung:: Myreil, ou comment poster en même temps sur la fiche de l'autre... Et puis même si une traqueuse, m'en fout, veux un lien quand même! xD Merci beaucoup, je t'aime aussi ♥ |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 19:49 | |
| Moi je le trouve très joulie ce vava é_è ♥ En plus c'est Seohyun alors ça peut être que réussi 8DD
Bienvenue à toi Seo-rinniiiie *o* && aja pour ta fichouille! La force a toujours été avec toi èé ou pas? *out* |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 20:30 | |
| seoriiiiin. ♥ C'est super de te voir ici également, et tu trimballes seohyun partout maintenant, alors. C'est comme ça qu'on va te reconnaître toi aussi, finalement ? ;p Bon courage pour ta fiche. |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 21:33 | |
| Min Hwan::Savadii ♥ (J'ai trop eu envie d'appeler ton personnage Choi Min Hwan, d'un seul coup... Ne t'étonne pas si je le fais un jour, je vénère le batteur des FT! :D) SeoHyun, c'est la classe absolue, bien sûr... J'ai vu que tu faisais Yoona ici... Alors y a pas moyen, je veux un lien avec elle, tu pourras pas faire autrement! 8D Merci beaucoup... Et je te souhaite bon courage d'avance, car je fais des fiches trèèèès longues!
Joo:: Tiens tiens, Joo qui ne fait pas Tiffany, que c'est étrange! xD En fait, je voulais trimballer IU ici, mais on m'a prise de cours... Mais non, je ne compte pas la prendre partout en fait. Mais tu m'as reconnu comme ça, avoue! :D Merci beaucoup ♥ *court finir sa fiche* |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 21:34 | |
| Ringo; ♥
Bienvenue; & courage pour ta fiche. èè |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 21:50 | |
| seohyuuun; ♥ bienvenue & bon courage pour le peu qu'il te reste. :3 |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 22:14 | |
| seohyun *-*
welcome & fighting & have fun~~ |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Sam 15 Jan - 22:49 | |
| Yoona:: Ouais, Ringo! En plus en jap', ça a la classe une pomme! x) Merci, et bon courage pour ton DC à toi, sale faible! xD
Ji Young et Han Byul:: Whouaah, des fans de SeoHyun! ;D (Je sens que comme dit Joo, je vais me la trimballer cette petite... x) Merci beaucoup à vous deux. Au fait, il me reste la moitié du texte à faire! Et encore, j'ai décidé de faire ma feignasse, avec seulement deux à trois pages... x) Et puis... GOO HARA *O*
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Dim 16 Jan - 2:25 | |
| Foooolle!! En effet o_o J'crois que j'vais commencer à lire histoire de prendre de l'avance parce que partie comme c'est... XDD ♥ && of course pour le lien *o* On est pas les deux magnifiques maknae pour rien hein! (aa) |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Dim 16 Jan - 2:39 | |
| Au fait Savadi... Bon courage, parce que j'ai fini ma fiche! Tu as trois pages Open Office à lire! 8D
Mouéhéhé, on va se refaire le Carribean Bay chez les Fakefriends! :D Ouais, c'est vrai... Les belles maknae, les meilleures! x) |
| | | Mr. Cupid Messages : 155 CHA's Member since : 11/09/2010
| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] Dim 16 Jan - 2:46 | |
| savadi; don't worry! j'avais pris de l'avance et puis j'ai adoré te lire tu sais <33 Félicitations!
Tu es désormais validé! o/ Maintenant que tu as été placé dans ta belle couleur violette de fakefriends, tu peux poster où tu en as envie sur le forum! N'oublie pas d'aller te faire référencer ici, que l'on sache si tu es libre ou non! Une question? La F.A.Q te répondra peut-être! Besoin d'un toit? C'est par ici; nous n'allions pas te laisser à la rue quand même! Et parce que ce n'est pas drôle d'être un SAF, sans-ami-fixe, viens faire un tour ici pour trouver des liens pour ton personnage! Désormais, tu es libre. Va, cher petit membre, mais ne fais pas de bêtises! Et n'hésite pas à te connecter dans la chatbox pour apprendre à connaître les autres, si ce n'est pas déjà fait! (: |
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| Sujet: Re: You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] | |
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| | | | You asked for a shy, cute girl, don't you? ~ Hana's real face [Finito! :D] | |
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